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Quel matériel pour réussir ses semis ?

par | 21 Jan 2025 | Réussir ses semis et ses plants | 0 commentaires

Vous souhaitez apprendre à cultiver vos propres légumes ? Grâce à l’almanach Terra, vous n’oubliez plus de semis : il vous suffit d’ouvrir votre fichier, de regarder le mois en cours, et vous avez tous les semis à réaliser (expliqués en détail), qui vous permettront de produire des légumes toute l’année.

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Les semis sont une étape essentielle pour tout jardinier qui souhaite partir de la graine jusqu’à la récolte. Seulement, cette opération délicate demande un bon matériel pour optimiser vos chances de succès. Voici un tour d’horizon complet de l’équipement indispensable pour mettre toutes les chances de votre côté.

Le contenant : choisir le bon récipient pour vos semis

Le choix du contenant est crucial. Il dépend de la culture que vous allez semer. Voici les options principales :

Les caissettes à semis

Ce sont comme de petites barquettes de 6 à 7 cm de profondeur, trouées sur le fond pour laisser s’évacuer d’éventuels excès d’eau.

On les accumule bien souvent au fil des années en achetant dans un premier temps des plants dans les jardineries, chez des producteurs. Tous ces plants sont en barquettes que nous pouvons par la suite ré-utiliser. On peut très bien aussi jouer de récupération avec tous ces emballages que nous utilisons tout au long de l’année. Notamment des plats préparés qui sont bien souvent en bac en plastique. Il vous suffit de percer quelques trous sur le fond et ces récipients feront parfaitement l’affaire. Récupérez au passage vos pots de fromage blanc, de yaourt, tout ce qui peut contenir du terreau. Les plus profonds serviront à remplacer des godets pour faire grandir plus encore vos plants. Ces barquettes sont parfaitement adaptées pour accueillir bon nombre de semis sur les 20 premiers jours environ. Le temps que les graines germent et deviennent de jolies petites plantules.

L’avantage à semer densément dans ces barquettes est de pouvoir chauffer très facilement votre semis, le déplacer si besoin. Par exemple, vous pouvez l’installer facilement sur une étagère à la maison au chaud, sur un meuble, un rebord de cheminée bien au chaud ou encore sur un tapis chauffant. Les premiers jours, la lumière est inutile tant que les graines n’ont pas germé. C’est la température qui compte. La barquette permet ainsi d’apporter facilement une belle température à nos jeunes semis.

Ici j’ai pour habitude d’y semer des laitues, des tomates, des aubergines, des poivrons, des choux, des oignons ou encore du céleri. Les poireaux peuvent aussi prendre place en barquette, mais le semis est long à se développer. Les systèmes racinaires sont conséquents. Privilégiez des contenants plus profonds, de bien 10 à 15 cm de profondeur comme par exemple des caissettes à poisson. Elles font parfaitement l’affaire. Certaines sont moins profondes. Elles iront très bien pour les semis cités plus haut. L’avantage étant de consommer moins de terreau.

Tous ces semis sont des petites graines qui prendront place facilement dans ce genre de récipient. Semez une graine tous les un à deux centimètres en tout sens. Il ne vous restera plus par la suite qu’à prélever les plus beaux plants et le repiquer en godets individuels.

Les plaques alvéolées

Elles sont plus professionnelles que de simples barquettes dans lesquelles les plants ont tendance à entremêler leurs racines. Ici chaque plant se développe individuellement. C’est ainsi un repiquage plus vigoureux qui se fera en pleine terre. Les professionnels choisissent beaucoup cette méthode parce que le temps gagné est précieux. Les alvéoles peuvent être de différentes tailles, adaptées selon les cultures à semer.

Celles de plus petites tailles, environ 3 cm de diamètre, conviennent pour des petites graines qui donneront des petits plants. Par exemple les laitues, choux, oignons, poireaux… s’y plairont.

Celles de moyennes tailles, 4 à 5 cm, conviennent pour les betteraves, blettes, épinards en poquets de 3 graines, mesclun en poquet de 3 ou 4 graines.

Celles de grandes tailles, 6 à 7 cm ou plus grand encore, conviennent pour des graines moyennes à grosses qui donneront des plants bien costauds en taille adulte. On pense aux aubergines, poivrons, courgettes, tomates, melons, pastèques, concombres, courges, haricots en poquet de 4 ou 5 graines, aromatiques en poquets de 10 graines…

Ces plaques alvéolées ne sont pas indispensables, mais elles permettent de meilleurs résultats. J’ai pris pour habitude d’y semer mes épinards en poquets de 3 graines par petites alvéoles. Cela marche remarquablement bien. J’y sème aussi mes choux plutôt qu’en barquette. La reprise est plus rapide en godet ou directement en pleine terre. Les blettes et betteraves sont semées dans des alvéoles de moyenne dimension, 4 à 5 cm. Cela me permet de les repiquer ensuite directement en pleine terre. Sans plaques alvéolées, vous pouvez vous rabattre sur les godets.

Les godets individuels :

Ils sont parfaits pour des semis qui n’aiment pas trop le repiquage, comme les courges ou les concombres. On peut y semer aussi toutes les cultures d’été comme les courgettes, melons, pastèques, maïs, haricots en poquet de 4 ou 5 graines.

Ils sont aussi idéaux pour semer sous abri quelques petits pois et mangetouts. 6 à 7 graines dans des godets de 7 cm de côté minimum et vous pourrez les repiquer un mois plus tard en pleine terre. Pour les très grosses graines, privilégiez des godets de grandes tailles, bien 9 ou 10 cm de côté. Les courges et les fèves, par exemple, requièrent cette grande dimension de godets.

Ici au potager, j’en ai des centaines en stock. Ils servent tout autant à repiquer des semis préalablement semés en barquettes. Par exemple les petits plants d’aubergines, tomates, laitues, poivrons, piments, choux… prennent place en godet 3 à 4 semaines après les avoir semés en barquette.

D’ailleurs, cela me rappelle la question que l’on me pose souvent, « pourquoi ne pas les semer directement en godet ? ». Tout simplement parce que le semis en barquette permet de gagner de la place sur les premières semaines, de chauffer le semis plus facilement, de le protéger du froid avec un voile ou en l’installant sur un tapis chauffant. Cela permet aussi de n’installer en godet que les plus beaux plants.

Le substrat : la base de vos semis

Le choix du substrat est tout aussi important que celui du contenant. Que de déconvenues qui peuvent nous arriver en choisissant un mauvais terreau, de faible qualité. Voyons comment échapper à tout cela.

Un bon terreau doit être à la fois assez fin, meuble, aéré, rétenteur d’eau, riche en minéraux, comme un couffin pour un nouveau-né qui apportera tout le confort nécessaire à nos graines puis à nos jeunes plants. Quelques indications précieuses au dos des sacs de terreau vous permettent de ne pas vous tromper. Choisissez un terreau avec un fort taux de matière organique, idéalement autour des 70%. En dessous de 50%, vous risquez d’avoir un terreau très grossier, farci de morceaux de bois, d’écorces. Pour semer, plus encore en alvéoles, c’est bien trop pénible.

Autre indication, le taux de rétention en eau qui doit être le plus élevé possible, autour des 80%. S’il est de 50% seulement, cela signifie que vous avez à faire à un terreau grossier qui laisse passer la moitié de vos arrosages.

Enfin, choisissez un terreau enrichi en engrais. Les terreaux biologiques ont toujours des engrais organiques, naturels. Les terreaux non biologiques ont bien souvent des engrais minéraux de synthèses. Ces engrais vous permettent de nourrir vos plants, vous assurer d’une belle vigueur de croissance. Évitez les terreaux premier prix, sans engrais, à faible taux de matière organique, à faible taux de rétention en eau. Utilisez-les tout au plus pour remplir des jardinières, alléger votre sol. Mais pas pour semer vos graines qui demandent le plus grand confort.

Pourquoi ne pas utiliser de la terre ?

La terre n’est pas stérile, contrairement au terreau. Vous risquez d’avoir des graines indésirables qui germent en tous sens. Cette terre va aussi se compacter très rapidement. Les arrosages ne pénètrent pas bien et finissent par s’écouler sur les bords. Les racines vont manquer d’air. Enfin, la terre peut contenir parfois des parasites, des maladies, des cailloux aussi et d’autres grossièretés. Il vous faut sinon la tamiser, la préparer, l’affiner pour espérer pouvoir vous en servir sans pour autant éliminer les risques de maladies. Le but n’est pas de vous décourager à l’utiliser. Mais juste vous apporter la notion qu’un terreau augmente grandement vos taux de germination, vos taux de réussite.

Les outils pour semer : précision et efficacité

Pour bien semer

Le premier outil est tout simplement vos doigts ! Ils peuvent remplacer tout semoir du moment que vous prenez le temps, l’attention de bien réaliser vos gestes. Même pour les graines les plus petites, tomates, choux, céleri, vous y arriverez en y allant délicatement. Ici au potager, jamais je n’ai utilisé de semoir tant que la santé me permet de semer avec précision et minutie. Quel plaisir, il faut dire, de prendre ces graines en main, les ressentir, les installer précieusement à leur place dans un bon terreau.

Pour ceux qui souhaitent un peu d’aide pour semer avec plus de précision, de facilité, vous pouvez vous équiper de petits semoirs à main. Ils ne coûtent quasi rien. Vous choisissez le diamètre de sortie de graines et cet outil vous permettra, en le tapotant, de faire tomber vos graines une par une à leur place. À vous de voir si cela peut vous être utile. Un simple crayon un peu humide peut parfois vous suffire pour coller une par une les graines au crayon et les installer à leur place.

Pour bien arroser vos semis

La réussite de vos semis passe par un terreau constamment humide. Selon l’ensoleillement, la chaleur, il faut lui apporter de l’eau.

Cela doit se faire avec délicatesse pour ne pas brusquer le semis. Équipez-vous d’un arrosoir à bec de cygne pour arroser délicatement vos godets. Un pulvérisateur peut grandement aider pour arroser vos barquettes. Sinon, une bouteille avec un bouchon percé de quelques trous, ira très bien pour arroser vos plaques alvéolées, barquettes et godets. Pensez, quels que soient les équipements d’arrosage, à arroser avec une eau à température ambiante. Sans quoi le stress de température provoquera des dommages. Plusieurs fois j’ai loupé des semis faute d’arroser avec une eau bien trop froide sortie du robinet sous serre.

Imaginez recevoir une douche glacée. Certes c’est vivifiant, mais assez dur à encaisser sur le coup. Pour nos petites graines, c’est trop de stress alors autant l’éviter.

Aller plus loin : Bien arroser ses semis

Pour affiner le terreau

Un tamis peut vous être très pratique. Ici il m’est indispensable pour parfois affiner plus encore le terreau et remplir mes petites alvéoles. Puis surtout pour recouvrir les semis une fois les graines semées. Cela permet d’éviter toute grossièreté, de semer plus encore dans des conditions idéales. Vous trouvez des tamis en jardinerie ou tout simplement sur internet. Des tamis de maçon font très bien l’affaire, de maille 3 ou 4 mm environ. En dessous c’est vite trop fin et au-dessus, trop de grossièretés peuvent passer.

Pour bien identifier vos semis

Équipez-vous d’étiquettes robustes avec un bon marqueur pour identifier sans faute vos semis. Attention à ne pas miser sur votre mémoire ! On pense se souvenir de tel ou tel semis puis une semaine plus tard, on ne sait plus du tout qui est qui ! Des étiquettes en plastique n’ont pas forcément bonne presse, mais si vous ne les jetez pas dans la nature, cela reste un matériau fort adapté et peu polluant. Vous en trouvez partout sur le net pour un faible prix, quelques euros pour des centaines d’étiquettes. Vous y ajoutez un bon marqueur, dans l’idéal qui résiste à l’eau, et le tour est joué.

Vous pouvez sinon jouer de récupération. Par exemple avec des bâtonnets de glace, des pots découpés en lamette, des morceaux de bois eux aussi découpés. Attention néanmoins avec le bois qui contient parfois des champignons et qui a tendance à s’imbiber d’eau.

La gestion de la chaleur : maintenir une température idéale

Tous les semis demandent une température minimale pour bien germer puis ensuite pour bien se développer. Toutes les températures sont renseignées dans ce fichier si vous souhaitez toutes les informations. Ainsi, les laitues, épinards, blettes, radis, navets, betteraves, choux, pois, mangetouts, oignons… demandent une température idéale autour des 15 à 20°. Pour les cultures d’été, c’est 5 à 10° de plus qu’elles apprécieront.

Les tomates préfèrent les 20/25°C pour bien pousser.

Plusieurs équipements peuvent grandement vous aider à vous approcher de ces températures. Surtout quand vous semez ces cultures en février, mars, avril quand les températures sont encore bien basses.

Les tapis chauffants et nappes chauffantes

Placés sous vos barquettes, vos godets et même sous vos plaques alvéolées pour ceux de grandes tailles, ils permettent de maintenir une température stable entre 20 et 25°C. C’est idéal pour les cultures estivales, mais souvent inutiles pour les autres cultures. Ici j’en utilise parfois pour maintenir au chaud une barquette de semis de tomates, aubergines, poivrons… 

Les nappes chauffantes sont du même principe que les tapis chauffants, mais avec une taille bien plus grande. Vous pouvez ainsi trouver des nappes de 1, 2, 3, 5, 10 m² ! C’est souvent trop pour les jardiniers amateurs que nous sommes. Mais si vous voyez les choses en grand, équipez-vous de ces nappes pour semer dans des conditions idéales de températures.

Aller plus loin : Utiliser un tapis chauffant pour ses semis

Les cloches ou mini serres

Elles créent un microclimat en retenant à la fois la chaleur et l’humidité. Elles sont parfaites pour des semis en intérieur, pour accentuer la chaleur d’un semis qui reçoit l’ensoleillement extérieur. La température y est bien souvent supérieure de 5 à 10°. Lorsque vous laissez vos semis sous abri froid, en serre extérieure, cela peut grandement vous aider d’ajouter cette mini serre dans la serre. Vous protégez les semis de trop de froid la nuit et vous augmentez la température la journée. Attention cependant, il peut vite faire très chaud au moindre rayon de soleil…

Des voiles de protection

Ils permettent de gagner 1 degrés maximum par épaisseur de voile. Pour vos semis entreposés sous abri froid, c’est parfois utile lors des nuits très froides. On parle d’épaisseur de voile. Les P17 font 17g au m², les P30 font 30g au m²… Avec l’aide de petits arceaux, vous pouvez ainsi recouvrir vos semis et les maintenir à un température plus élevée sans devoir utiliser de chauffage. Ce n’est pas magique, mais cela protège tout de même un peu.

Aller plus loin : Les voiles de forçage au potager

Les semis passent leur temps sous le voile, au chaud, notamment la journée. Attention cependant aux surchauffes…!

Une grande serre

Tout autre chose que les minis serres, une serre de grande taille vous permet d’entreposer l’ensemble de vos semis en bénéficiant d’un paramètre majeur, la lumière !

Parce qu’à la maison, la lumière manque très vite sauf à avoir une pièce extrêmement lumineuse, une véranda.

La serre vous permet ainsi d’avoir des plants qui ne s’effilent pas, qui restent bien trapus, vigoureux.

Par contre, il faut prendre garde à la température. Une serre ne protège en rien du gel. Il y fait aussi froid la nuit (ou quasiment) qu’en extérieur. C’est pourquoi il vous faut coupler cet équipement à d’autres comme les voiles pour emmitoufler vos semis la nuit. Vous pouvez aussi utiliser des tapis chauffants ou nappes chauffantes vus précédemment. Vous pouvez enfin utiliser un chauffage de chantier qui chauffera l’ensemble de la serre. Mais c’est une dépense énergétique tout autre. Il faut compter 2000 w contre 10 w de l’heure pour un tapis chauffant !

Sous serre, les semis sont protégés de la pluie trop violente, du givre, mais pas spécialement du froid nocturne !

La gestion de la lumière : éviter les plants étiolés

Un bon éclairage est indispensable pour prévenir l’étiolement de vos plants (allongement excessif des tiges). Quitte à vous le répéter, on le redit ici : la lumière est la première clé de réussite sitôt vos semis germés. Plusieurs équipements peuvent vous aider à avoir cette lumière optimale.

Les semis qui manquent de lumière ont tendance à allonger leur tige. Cela les rends plus fragiles.

La maison !

Elle est parfois idéale pour profiter de la lumière naturelle sitôt que vous avez une véranda, une baie vitrée exposée plein sud ou même une grande fenêtre elle aussi exposée plein sud. Mais parfois, vous n’aurez pas ces conditions lumineuses. Se rajoute le fait qu’en hiver, le soleil est souvent absent, bas dans le ciel. Les journées bien plus courtes qu’en été. Pour les cultures précoces, cela peut passer. Mais si vous souhaitez lancer des semis de cultures estivales, c’est bien souvent un échec qui vous attend faute d’un manque de lumière. Il faut alors vous équiper d’autres équipements…

Les lampes LED ou lampes horticoles

Elles changent toute la donne. En les allumant 12h par jour, les plants reçoivent une pleine dose de lumière. Regardez ci-joint la photo de mon meuble à semis. J’y entrepose mes semis précoces de cultures estivales, aussi parfois mes semis de laitues, épinards, blettes, betteraves si jamais une vague de froid conséquente sévit dehors. Si les semis ne sont pas germés, les LED restent éteintes. Mais sitôt germés, les lampes sont allumées. Comme les étagères sont hautes, je rajoute un réhausseur les premières semaines, de simples cageots par exemple pour que les plants soient à tout juste 15 à 20 cm des LEDS. Une fois les plants bien avancés, j’enlève les réhausses pour qu’ils puissent continuer à grandir. Nous utilisons ce type de modèle. Vous en trouverez sur différents sites.

Pour augmenter plus encore la luminosité, vous pouvez agrafer dans votre meuble à semis, du mylar. C’est un matériau réfléchissant. Cela fait une ambiance de soirée disco ! mais c’est très efficace.

Une serre

Une serre est un équipement idéal pour capter le moindre rayon de soleil. Elle peut accueillir vos semis et par la suite, vos cultures pour profiter à la fois d’une température plus chaude (idéal sous climat frais) et d’une lumière optimale. Vous retrouvez des serres en verre, durables à vie sur notre site https://www.serres-acd-terra.fr/.

Un calendrier des semis

Enfin, pour réussir idéalement vos semis, il vous faut impérativement respecter les saisons. Chaque culture a une saisonnalité idéale qui peut varier de plusieurs semaines, plusieurs mois. Inutile de lancer un semis de tomates en janvier alors qu’on peut déjà penser à semer des laitues, des oignons, des épinards. Au contraire, inutile de penser à semer des petits pois en juin quand on pourra penser à semer bien des cultures estivales.

Vous pouvez découvrir ainsi notre almanach du potager qui reprend l’entièreté des cultures semaine après semaine, mois après mois avec constamment toutes les possibilités de semis et plantations à réaliser. 50 vidéos tutoriels sont jointes, réalisées par Olivier.

Plus d’infos sur notre calendrier des semis.

En conclusion

Réussir ses semis n’est pas seulement une question de doigté, c’est aussi une affaire de matériel. Un contenant adapté, un substrat de qualité, une bonne gestion de la chaleur et de la lumière, ainsi qu’un arrosage précis et régulier, sont les clés de la réussite. Avec ces équipements et quelques gestes bien maîtrisés, vos semis auront toutes les chances de devenir des plants vigoureux, prêts à s’épanouir dans votre jardin ou même sur votre balcon.

Alors, à vos semis, prêts, partez !

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