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Comment stocker l’eau de pluie ?

par | 22 Nov 2022 | L'arrosage, l'eau au potager | 7 commentaires

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L’eau est une ressource qui se fait de plus en plus rare en été. En stockant les précipitations qui tombent tout au long de la saison, vous devriez pouvoir vous passer (au moins en grande partie) de l’eau du réseau. Et en particulier si vous avez un petit potager. Voyons donc ensemble comment stocker l’eau de pluie pour arroser le potager.

Une ressource providentielle

En France, comme dans de nombreux pays occidentaux, l’eau coule lorsque l’on tourne le robinet. Pourtant, cette ressource n’est pas disponible partout en grande quantité. Lorsque les été sont chauds et secs, de nombreuses régions ont un accès limité à l’eau. S’en suivent ensuite des interdictions d’arroser, ce qui peut être fatal pour nos protégées du potager. Pour pallier ces restrictions d’eau, mais aussi utiliser les ressources disponibles gratuitement, il est intéressant de capter et de stocker l’eau de pluie pour les périodes de disette. Au passage, l’eau du réseau est traitée pour être consommable en boisson. Les plantes n’ont pas besoin d’un tel traitement, et l’eau de pluie leur conviendra à merveille. Jardiniers n’attendez plus, et essayez de trouver le moyen le plus approprié de stocker de l’eau pour irriguer vos cultures en période estivale 😉

eau coule main
L’eau est facile d’accès chez nous, mais elle reste une ressource précieuse !

On préfère quand même vous prévenir tout de suite : si votre sol n’a pas une forte réserve utile en eau (les sols sableux par exemple), et/ou que votre potager fait plus de 50m² carrés cultivés, il sera difficile d’être autonome en eau à 100%, à moins de mettre vraiment la main au porte-monnaie. Néanmoins, chaque geste compte et les quelques milliers de litre que vous pourrez stocker seront toujours utiles, et soulageront les services d’approvisionnement en eau potable.

L’eau de pluie : gratuite et disponible en quantité 

En France métropolitaine, il tombe en moyenne 700 mm d’eau par an au m2. Ce chiffre ne paraît, à premier abord, pas très lisible mais lorsqu’on le rapporte à la taille d’un jardin, il en tombe des mètres cubes ! 

En captant l’eau qui tombe sur vos toitures, vous pourrez sans mal avoir à disposition l’eau nécessaire à l’arrosage de vos cultures. Pour estimer votre potentiel de récupération d’eau, vous pouvez appliquer une formule simple que nous vous expliquons dans un article dédié. 

Lire l’article : Calculer la quantité d’eau que mon toit peut récupérer

Une fois captée, l’eau doit être stockée afin d’être disponible aux moments où les pluies sont plus rares. Si économiser de l’eau au potager vous intéresse, voici quelques astuces d’arrosage pour l’été !

Quelles cuves pour stocker l’eau de pluie ?

Les cuves IBC, cuves de jardin

Il s’agit de la méthode la plus simple à mettre en place pour un petit potager. Il suffit de raccorder directement vos descentes de gouttières à des bacs de récupération d’eau. Pour les jardins, il existe différentes formes de cuves qui peuvent être utilisées. Les réservoirs font en général 200 L à 1000 L. En fonction de la taille de votre potager et de vos besoins d’irrigation, vous pouvez donc vous tourner vers la capacité de stockage qui vous semble la plus cohérente. Selon votre région, même une cuve de 1000 L est rapidement vidée en plein été.

Guillaume : avec mon sol sableux, je consomme en moyenne 350L par jour en été lorsqu’il fait sec. Mon potager fait environ 120m² cultivés.

cuve ibc
Les cuves IBC sont utilisées pour le transport des fluides en grande quantité. Renseignez vous toujours sur ce qu’elle contenait avant.
robinet cuve ibc
Pensez toujours à installer un robinet sur vos cuves. Cela simplifie l’utilisation. Il permet de brancher un tuyaux d’arrosage si le débit est suffisant ou encore de vidanger votre cuve en cas de gros gel ou si vous avez besoin de nettoyer vos cuves.

Pour ce volume de stockage, on peut récupérer des cuves IBC ou en acheter à bas prix. Elles offrent une capacité de stockage intéressante et pourront être reliées en réseau avec un système de trop-plein communicatif entre les cuves. Ces dernières ont l’avantage d’être faciles à installer et le parc de stockage d’eau pourra être agrandi au fil du temps et des besoins. Les cuves aériennes restent aujourd’hui le système le moins onéreux concernant le stockage de l’eau de pluie. 

Les cuves enterrées

Si les cuves aériennes sont pratiques à installer, elles sont rarement les plus esthétiques au pied de nos gouttières. Pour un budget un plus élevé, il existe des cuves en béton ou en polyéthylène que vous pouvez venir enterrer. Un des seuls désavantages de ces cuves, c’est leur prix. Il faut, selon les entreprises et la qualité des cuves, compter 1000€ par m3 de stockage si vous le faites faire un pro. À ce prix là, autant vous dire que c’est rédhibitoire… 

cuve beton
Les cuves en béton ont l’avantage de diminuer l’acidité de l’eau de pluie. Dans une cuve en polyuréthane ou en plastique, vous pouvez y installer quelques parpaings au fond qui joueront le rôle de purifier l’eau

Simplement, si vous faites des travaux chez vous et que vous faites intervenir une pelleteuse, pensez éventuellement à faire creuser un trou pour une cuve. Dans l’installation, l’intervention des machines pour creuser coûte chère et si elles sont sur place, autant en profiter et demander à l’artisan de vous creuser un trou pour une cuve ou un bassin (on en parle plus bas). Dernier avantage d’une cuve béton : elle reminéralise l’eau. La pluie qui tombe du ciel à tendance à être acide à cause des pollutions. Le béton, par sa porosité, adoucit l’eau grâce à ses propriétés alcalines.

Les cuves souples 

Si vous souhaitez stocker une quantité d’eau importante, les cuves souples peuvent être une solution à étudier. Il s’agit d’une cuve en toile plastifiée résistante au gel et aux UV. Les plus petites font environ 1 m3 (environ 300€). Elles peuvent faire jusqu’à 30 m3 pour un prix relativement abordable (environ 1100€). Pour l’installation d’une cuve souple, il faudra cependant penser à terrasser un peu son emplacement, ou du moins l’installer sur un terrain plat.

Ces cuves peuvent aussi être installées dans un vide sanitaire ou encore sous une terrasse en bois par exemple. Généralement, ces cuves sont reliées à un système de pompage afin de pouvoir utiliser l’eau avec un débit constant. 

cuve souple
Les cuves souples permettent de stocker de grandes quantités d’eau. Ici pour une réserve incendie mais elles sont très efficace pour le potager.
Cjp24, CC BY-SA 3.0, via Wikimedia Commons

Un bassin creusé 

Les maraîchers et professionnels agricoles ne peuvent souvent pas se passer du stockage de l’eau de pluie. Selon la taille de l’exploitation, il faudra parfois plusieurs centaines de mètres cubes d’eau de stockage, notamment lorsque les forages ne suffisent pas.

On restera néanmoins en dehors des débats sur les méga bassines 😉

La solution la moins onéreuse pour une telle quantité reste de creuser un bassin. L’avantage est que vous pourrez dimensionner votre capacité de stockage en fonction de vos besoins. Concernant l’étanchéité du bassin, il est vivement conseillé de le faire à l’aide d’une bâche EPDM même si parfois le sol bien damé pourra retenir l’eau (dans le cas de sols très argileux). C’est la meilleure méthode pour éviter les fuites du bassin qui pourraient jouer de mauvais tours au jardinier. Dans ce type de méthode, il faut aussi prendre en compte l’évaporation de l’eau tout au long de l’été.

etang marre
Si vous observez une zone humide sur votre terrain, essayez d’y installer votre bassin, il se remplira peut être même sans l’aide des gouttières une partie de l’année.

Des kits prêts à l’emploi

Si vous n’êtes pas très bricoleur mais que vous souhaitez avoir un système optimal de récupération d’eau, il existe dans le commerce des systèmes fonctionnels qu’il suffit de brancher. Il s’agit généralement d’une cuve couplée à un système de filtration ainsi que d’une pompe. Bien qu’un peu onéreux, ce type de système est prêt à l’emploi ! 

Des cuves en série

Si vous possédez déjà une petite capacité de stockage d’eau, vous avez dû remarquer à quelle point vos réserves se remplissent rapidement dès la première pluie. L’eau en surplus est alors évacuée et retourne au sol. Vous pouvez, avec un système de trop plein mettre plusieurs cuves en série afin d’augmenter votre quantité de stockage. Les cuves IBC se prêtent très bien à ce type d’installation par exemple.

cuve IBC potager
Il est intéressant de toujours surélever vos cuves, au moins d’une cinquantaine de centimètres pour pouvoir y passer un arrosoir. 

Récupérez l’eau, peu importe le contenant

Si vous n’avez pas grand chose à investir pour le stockage de l’eau de pluie, vous pouvez vous contenter de ce que vous trouverez. Bidons, tonneaux et divers récipients de grande contenance feront l’affaire. Faites tout de même attention à ce que contenait le récipient auparavant. Il serait dommage d’arroser vos cultures avec de l’eau polluée aux produits chimiques !  

Bien conserver l’eau stockée

Quelques précautions sont à prendre en compte pour un stockage de l’eau dans de bonnes conditions. L’eau stagnante a souvent tendance à se remplir d’algues. Pour éviter ce phénomène, il suffit de rendre votre récipient de stockage opaque. Pour les cuves IBC par exemple, il existe plusieurs solutions. Vous pouvez peindre votre cuve en noir afin que les rayons du soleil n’atteignent pas l’eau. Vous pouvez aussi confectionner un bardage en bois ou encore venir filmer la cuve avec une bâche plastique occultantes. Afin de camoufler les cuves, vous pouvez venir y installer des plantes grimpantes qui viendront les habiller.

gouttiere bouchée feuilles
Pour limiter l’encrassement de vos cuves, pensez aussi à nettoyer régulièrement vos gouttières. Cela évite de venir vider votre filtre à chaque pluie et d’éviter que vos cuves ne se salissent trop rapidement. On peut aussi mettre une moustiquaire sur le trou d’entrée.

Pour limiter que des feuilles mortes viennent se décomposer dans vos cuves, il est recommandé d’installer une crépine ou une moustiquaire en sortie de gouttière. Cela évite que des résidus de végétaux, des insectes et des petits mammifères tombent dans vos cuves. Si votre bac de récupération est ouvert à l’air libre, pensez aussi à installer une bûche ou une planche qui flotte à la surface de l’eau. Cela évitera aux insectes et divers petits animaux qui viennent y boire de s’y noyer.

Si vous le pouvez, couvrez aussi vos bacs de récupération pour éviter trop d’évaporation. En été, on peut perdre plusieurs centimètres par jour !  

Utiliser le stockage de l’eau en masse thermique 

Au-delà de son intérêt pour l’arrosage, le stockage de l’eau de pluie peut aussi être utilisé comme stockage de chaleur ! En effet, lorsque vous avez une grosse masse d’eau, celle-ci prend du temps à varier de température. En installant des cuves dans votre serre par exemple, dès que les rayons du soleil pointent leur nez, l’eau des cuves se réchauffe. Elle redescend en température au cours des nuits fraîches mais permet de faire une masse tampon de chaleur. On peut ainsi planter à proximité des cuves certaines plantes un peu frileuses.

Sous le climat corrézien par exemple, la verveine citronnelle a tendance à geler certains hivers. Elle repartira ensuite de son pied au printemps. Plantée à côté d’un récupérateur d’eau dans la serre, elle passe désormais l’hiver sans trop de problème. Elle sera donc plus vigoureuse au printemps suivant. Si vous cultivez des plantes sensibles au gel, vous pouvez donc les placer à côté de votre système de récupération d’eau. Elles bénéficieront ainsi de l’inertie thermique de vos cuves.  

cuve serre masse thermique

Stocker l’eau de pluie en hauteur 

Vous connaissez le principe du château d’eau ? Si vous en avez la possibilité, c’est intéressant d’installer vos cuves le plus haut possible sur votre terrain. Si vous bénéficiez d’une pente, vous pouvez arroser le potager en profitant de la pression naturelle. Concernant le débit, on estime qu’avec un mètre de dénivelé, on augmente la pression de 0,1 bars. Selon l’emplacement du stockage, vous pouvez donc arroser votre potager en goutte à goutte avec la pression naturelle due à la hauteur. Si vous installez votre stockage en dessous du potager, vous pouvez tout à fait installer une pompe afin d’avoir la pression nécessaire à votre arrosage.

Combien d’eau de pluie stocker ? 

Cela varie beaucoup d’un jardinier à l’autre ! Selon votre climat et la pluviométrie annuelle de votre commune, la quantité de stockage va du simple au double. Si vos cuves se remplissent même en été, vous pouvez vous contenter de seulement quelques cuves qui conviendront parfaitement à vos besoins. En revanche, si vous habitez dans le sud de la France, il n’est pas rare d’avoir trois ou quatre mois avec quasiment aucune vraie pluie. Les épisodes de sécheresse se multiplient et ce cas de figure devient de plus en plus fréquent, même dans les régions où la pluviométrie annuelle est élevée. Il est donc judicieux de surestimer un peu la quantité d’eau stockée afin d’éviter le risque de disette. 

cuve bardage
Une cuve au fond du jardin disparait très vite dans la végétation !

Un système d’arrosage localisé

Si vous n’avez pas la possibilité ou l’envie de stocker l’eau, vous pouvez aussi installer un système d’irrigation avec les eaux de pluie. Vous pouvez mettre en place un système de drainage de vos gouttières directement au potager. Avec un système de canaux ou de tuyau enterrés, vous pouvez diriger l’eau directement vers les zones à irriguer. Cela a pour avantage que votre potager sera arrosé en profondeur lors de chaque pluie, même les plus petites. Néanmoins, il faudra prévoir de fermer les vannes en hiver si l’on ne veut pas favoriser le lessivage des éléments minéraux.

Lorsque les précipitations ne sont pas suffisantes, si vous jardinez avec du paillage, il se peut que l’eau n’arrive même pas jusqu’au sol ! Ce type de drainage a donc l’avantage d’augmenter grandement le nombre de litres d’eau qui arroseront vraiment le potager (et pas le paillage). Si vous envisagez une telle installation, gardez tout de même en tête que vous avez le plus besoin d’arroser pendant la période estivale, où les pluies sont plus rares. Le stockage de l’eau permet donc de lisser vos besoins. Vous aurez ainsi un stockage suffisant lors des mois les plus secs. 

Arroser avec le réseau ?

Eh bien oui, ce n’est pas une honte même si on se retrouve piégé avec les interdictions d’arroser en été. On pourra prévoir une solution de stockage pour ces périodes, et arroser avec le réseau le reste du temps… Quand on regarde la quantité de légumes produits avec quelques mètres cubes d’eau, on se dit qu’il vaut mieux ne pas se priver ! Arroser avec le réseau est, la plupart du temps, rentable (en plus d’être nettement plus pratique !).

On espère que cet article vous aura aidé à y avoir plus clair sur le stockage de l’eau. N’hésitez pas à venir calculer la quantité d’eau que vous pourrez récupérer avec vos toitures.

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7 Commentaires

  1. Bonjour, j’habite à côté de Nantes, proche de l’aéroport et du périphérique (5km). Nous projetons d’installer une cuve enterrée. Je me questionne sur les polluants (particules fines et autres) qui se déposent sur notre toit et qui de fait se retrouveront dans l’eau d’arrosage du jardin potager. Y’a t’il un danger pour notre santé ? Merci

    Réponse
    • Bonjour,
      En principe cela ne risque pas grand chose. Les particules ne sont pas spécialement “assimilée” par les légumes. Il doit peut être rester quelques petites choses… Cela dit, je n’ai pas les connaissances scientifiques pour vous répondre avec assurance.
      Bonne chance dans vos recherches

      Réponse
      • Merci pour votre réponse et votre réactivité !

        Réponse
  2. Bonsoir,
    J’habite en Haute -Savoie et j’aimerais savoir si je peux conserver l’eau dans mes cuves IBC pendant l’hiver ? Si oui comment dois-je procéder ? Car cette année l’eau avait bien gelé etE j’ai du tout vider en urgence .Cordialement .
    Véronique

    Réponse
    • Bonjour Véronique, il vous suffit de laisser la cuve mais remplie à 80 % : l’eau pourra geler sans faire éclater la cuve. N’ouvrez pas les robinets également, laissez dégeler tranquillement 🙂

      Réponse
      • Merci beaucoup pour votre réponse ,cela me servira pour l’an prochain
        Bon jardinage
        Véronique

        Réponse
  3. Bonjour
    J’ai 5 cuves IBC (je les remplis aussi avec l’eau du ruisseau à proximité quand il coule bien).
    Je voudrais arroser avec des tuyaux microporeux sous le paillage. Ce qui me semble être le top en terme de rationalité écolo-économique…
    Mais c’est pratiquement impossible de savoir quels tuyaux sont adaptés à l’arrosage par gravité uniquement ? J’ai tous les types de réponse de la part des vendeurs : depuis le «C’est conçu pour cet usage» à «Montez vos cuves à 10 mètres de haut pour avoir 1 bar = Minimum nécessaire»…
    Mon autre problème est que l’eau du ruisseau est tellement calcaire (pétrifiante) que les tuyaux se bouchent à la longue… Mais Je n’ai pas essayé de tester l’eau de pluie “acide” pour les détartrer…
    Cordialement

    Réponse

Trackbacks/Pingbacks

  1. Calendrier en permaculture mois par mois - Mai - Le potager permacole - […] • Préparez une cuve d’eau près de la cuisine pour conserver les eaux de cuisson (non salées) afin d’arroser…

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